Je regarde derrière moi une fois de plus,
J’y ai encore laissé des plumes.
Je n’avais pas sorti ma plus belle parure,
Celle-ci ne laissait qu’entrevoir ce que je voulais transparaître.
Plus j’avance et plus je me fortifie.
J’arrive à percevoir au mieux qui je suis vraiment, mes envies…
Loin de moi l’idée de me perdre au travers de l’euphorie,
de cette folie de la vie ayant pour slogan « il faut profiter ».
Je ne suis ni le pion d’un jeu d’échec, ni le bouffon qui amuse la cour.
Laura Vernier - Septembre 2010
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